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Premier Conseil scientifique à Yaoundé le jeudi 21 février 2019.

Publié le 21 février 2019 Mis à jour le 2 avril 2019
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le 21 février 2019

Premières impressions à chaud de la part des membres extérieurs à l'issue de cette première séance du Conseil scientifique :Prof. PENGNYEMB, Directeur des accréditations du MINistère de l’Enseignement SUPérieur (MINESUP) : « Ce projet vise un saut qualitatif. Il y a une marge de manœuvre très large au niveau de chaque établissement. Sans demander à ce que les programmes de formations soient communs, le MINESUP regrette le manque d’apparition d’un socle commun dans la définition des compétences, par filière. Par ailleurs, concernant la place de la communauté scientifique, le MINESUP invite les Directions d’établissement à faire intervenir tous les enseignants, et pas seulement les volontaires. »

Premières impressions à chaud de la part des membres extérieurs à l'issue de cette première séance du Conseil scientifique : Prof. PENGNYEMB, Directeur des accréditations du MINistère de l’Enseignement SUPérieur (MINESUP) : « Ce projet vise un saut qualitatif. Il y a une marge de manœuvre très large au niveau de chaque établissement. Sans demander à ce que les programmes de formations soient communs, le MINESUP regrette le manque d’apparition d’un socle commun dans la définition des compétences, par filière. Par ailleurs, concernant la place de la communauté scientifique, le MINESUP invite les Directions d’établissement à faire intervenir tous les enseignants, et pas seulement les volontaires. »

Prof MBATCHI, Secrétaire Général du CAMES : « Projet innovant. Le SG se réjouit que le Cameroun ait pu capter ce projet sur financement européen (cela caractérise une certaine agressivité). Participer à ce Conseil scientifique permet de se rendre compte de ce qui se passe et le CAMES saura rendre compte de la réalité. Si on devait commenter l’appropriation de la démarche à différents niveaux, on pourrait dire qu’il y a une volonté. Il faut identifier les points qui permettront la durabilité. Le CAMES tient à préciser qu’il a apprécié l’ouverture du GICAM [...]. Ce rapprochement mérite d’être appuyé, il faut se parler plus, continuons ».

Stephan DELPLACE, expert européen de la qualité : « deux remarques : Défis et beaucoup d’opportunités. Le principal défi réside dans le fait qu’il y a beaucoup à faire dans le même temps, et qui plus est…, plusieurs fois. Citons par exemple, le réajustement perpétuel de l’étude de faisabilité. Les opportunités. Ce projet permet de tester le concept de standard africain sur le terrain. Si on compare les European Standard & Guidelines (ESG) avec les African Standard & Guideline (ASG) on devra identifier des spécificités que l’on ne pourra comprendre que si on va sur le terrain. On a ici l’opportunité de visiter mes partenaires pour se rendre compte des ASG au niveau des formations. Enfin, autre opportunité, c’est un moyen de revisiter le cadre national de certification.

On ne peut pas parler de qualité de l’institution si on ne parle pas des parties concernées et des parties prenantes. Il faut observer l’attitude envers les parties prenantes. Il est conseillé de ne pas nécessairement adresser un secteur comme en Europe mais travailler plus largement ».

Nicolas CHASSEM, représentant du Président du GICAM : « Il y a encore beaucoup de chose à faire. Il est conseillé d’insister sur la bonne connaissance des acteurs et de leur interaction. Pour répondre au SG du CAMES, il faut savoir que dans notre société, on a toujours peur d’aborder les Professeurs d’Université dû à une trop forte estime. Ce n’est pas facile de s’aborder mutuellement. »
mise à jour le 02 avril 2019